Entretien avec Xavi Alá, partenaire fondateur de l'Association for Free Education

Dans une récente interview avec La Vanguardia, Xavier Alà, partenaire fondateur du Association pour l'éducation gratuite (ALE), dont nous avons déjà parlé, expose les fondements de cette option éducative et répond aux doutes les plus fréquents.

Xavi est professeur de lycée et pourtant il a décidé d'éduquer ses enfants à la maison. Il explique que, de par son expérience professionnelle, il savait que les programmes scolaires ne sont pas assez flexibles pour ce qu’il considère appropriés. Il souhaitait également offrir une éducation personnalisée à ses enfants.

Avec cette option, il offre aux enfants une éducation sans horaires rigides et avec plus de possibilités d’adapter les matières et leur rythme à chaque élève. Dans l'interview, il expose en général les deux manières d'éduquer à la maison. Un plus académique, qui combine des heures de travail à la maison avec des activités extérieures. L'autre, appelée en anglais "unschooling", vise à apprendre en dehors des limites de la structure de l'école. En ce qui concerne situation légale, bien que, dans de nombreux pays, il soit pleinement assimilé en tant que tel, le vide juridique permet en Espagne que, si les parents s’occupent de l’éducation des enfants, l’Administration ne peut agir, car il n’ya pas d’absentéisme et si l’éducation à ce que la loi exige.

Dans l'interview, il explique que ces enfants peuvent obtenir le diplôme officiel, ou se présenter à un test de maturité à 18 ans ou s'inscrire dans des écoles d'autres pays qui dispensent un enseignement à distance. Et ceux qui le veulent peuvent ainsi aller au L'universitè.

Il déclare que le la socialisation des enfants est réalisé dans un environnement qui leur permet d’interagir avec des personnes de tous âges et dont les résultats scolaires sont généralement excellents. L'interview complète est disponible sur la page de La Vanguardia.

Qu'en pensez vous? Je suis de plus en plus convaincu que cette option, qui, à mon avis, restera toujours une minorité, doit être acceptée par notre législation, à condition que les enfants soient assurés d'être éduqués, d'apprendre et d'avoir une socialisation adéquate. Je pense aussi que notre système scolaire peut tirer des leçons de ces initiatives pour que l'éducation de nos enfants soit la meilleure possible.